Dernier ajout : 30 octobre.
La trilogie Donkey Kong Country sur Super Nintendo, développée par Pare dans les années 90, a marqué de nombreux joueurs, dont votre serviteur.
Après quelques titres sur lesquels il me faudra impérativement revenir (Donkey Konga ou encore Donkey Kong Jungle Beat), Nintendo a jugé bon de remettre le grand singe sur les rails de la Country. C’est Retro Studios (Metroid Prime) qui se chargea de cette mission, avec tout d’abord Donkey Kong Country Returns, sorti sur Wii en 2010.
Très sympathique, le jeu a su captiver une nouvelle génération de joueurs. Pour ma part je l’ai trouvé bon, mais sans plus. En fait, ses contrôles gyroscopiques m’avaient un peu saoulé. Mais comme je ne suis pas trop rancunier, je me suis quand même replongé dans l’aventure le temps d’une vidéo.
Mais c’est surtout Donkey Kong Country Tropical Freeze (toujours par Retro Studio), sorti en 2014 sur Wii U, qui m’a captivé. J’ai eu l’occasion de dire de nombreuses fois dans ces colonnes tout mon amour pour ce jeu au level-design racé, niveaux passionnants et musiques sublimes signées David Wise (le compositeur sur la trilogie originale).
Lorsque le jeu ressort sur Switch en 2018, je replonge sans problème. Cette version propose de pouvoir jouer Funky Kong, un personnage complètement cheaté puisqu’il est insensible aux pics en tout genre et plus planer dans les airs avec sa planche de surf. C’est cette version que je vous propose de retrouver en vidéo !
On aurait pu s’attendre à un troisième épisode, mais celui-ci n’est jamais venu. Retro Studios est aujourd’hui affairé à Metroid Prime 4. Nous ne savons donc pas à quelle sauce notre cher gorille sera mangé à l’avenir ! Il a fait de la figuration dans le DLC de Mario et les Lapins Crétins nommé Donkey Kong Adventure, et c’était très bien !
Pour pouvoir bénéficier de ce DLC, vous devez au préalable posséder le jeu Pokémon Épée ou Bouclier, et avoir acheté la Pass d’Extension qui correspond à votre version du jeu. Une fois votre jeu mis à jour, rendez-vous à la gare de Brasswick pour pouvoir débarquer à Isolarmure, l’île où se passent les aventures de ce premier DLC. La seconde partie du Pass d’Extension ne sera elle disponible qu’à l’Automne prochain.
Test publié sur Puissance-Nintendo
Pokémon Epée / Bouclier, sorti en fin d’année dernière, est une aventure très agréable, rythmée par des personnages hauts en couleur et des affrontements dans des arènes revisitées façon grands stades. La série Pokémon de retour sous son plus beau jour pour tous les fans de la série. Alors, seuls 400 Pokémon sur les 800 existants n’étaient disponibles, ce qui n’avait pas manqué de faire grincer des dents.
Le Pokédex de ce DLC est indépendant du jeu principal et monte à 211 Pokémon, dont 108 déjà disponibles dans Galar. Une autre fournée de Pokémon sera disponible dans la deuxième partie du DLC, les "terres enneigées de la Couronne". Mais nous n’arriverons à priori toujours pas au bout.
Dans "l’île solitaire de l’Armure", vous pouvez choisir de recapturer ces Pokémon enfin disponibles à l’air libre comme choisir de les exporter depuis Pokémon Home, à condition que vous les ayez déjà capturé dans le passé et importé jusqu’au logiciel Home sur mobile ou Nintendo Switch. A l’heure où nous vous parlons, un bug empêche la reconnaissance des dits Pokémon par le Pokédex. The Pokémon Company a annoncé travailler dessus. Il suffit d’être patient, ou de s’armer de courage en présentant puis retirant ces Pokémon à l’éleveuse de la pension de Galar, les uns après les autres. C’est le seul moyen de réveiller le Pokédex "endormi" pour le moment.
Bienvenue à Isolarmure !
Après être devenu Maître de la Ligue, notre héros se voit donc proposé d’explorer l’île d’Isolarmure, où l’attendent de nouvelles aventures. Très peu d’informations nous seront données sur les nouveaux personnages qui l’habitent. Ce n’est qu’en gagnant les cartes de dresseurs de ces personnages que l’on pourra avoir de précieuses informations au dos de leurs cartes.
Sur place, nous faisons l’objet d’un quiproquo qui va nous amener à participer à la vie d’un sympathique Dojo, mené tambour battant par le vénérable Mustar. Ce dernier propose à ses élèves une série de missions avec à la clé le trophée de l’île à gagner : l’armure secrète du Dojo ! Mais c’est sans compter sur Sophora, une jeune fille bien déterminée à enfin obtenir les faveurs du maître ! Notez que Sophora est un personnage propre à la version Épée du DLC.
Partons à l’aventure !
Entre toutes ces missions, vous avez toujours la possibilité de vous échapper pour arpenter l’île à votre guise. Des plages, des coins de verdure, une forêt, des cavernes, une montagne, entourés évidemment de beaucoup de mer, que vous pouvez parcourir avec votre vélo tout terrain. C’est toujours un plaisir de partir explorer de nouveaux environnements, ceux-ci étant particulièrement variés et île oblige, plus compacts que dans le jeu d’origine.
Sur place nous retrouvons ces nouveaux (anciens) Pokémon, des tas d’objets inédits à Pokémon Épée et Bouclier (souvent liés aux évolutions des Pokémon). Les fonctionnalités en ligne et les puits de combat sont toujours là, ce qui donne la possibilité d’affronter des adversaires géants en mode Dynamax.
Plein de petites choses sont à découvrir par-ci par-là. Apia l’épouse du maitre vous demande de lui offrir vos watts précieusement collectés dans les puits pour agrémenter le dojo. Hortensio son fils vous présente sa machine à recycler des objets. Bref, Pokémon est toujours cette petite boite à malice qui a fait le succès de la série.
Des missions quelque peu prétexte
Les missions proposées par Mustar sont très peu passionnantes et ne sont prétexte qu’à découvrir l’île plus en avant... auquel cas vous ne l’auriez pas fait par vous-même ! C’est ainsi que l’on se retrouve à courir derrière des Ramoloss, faire la cueillette aux champignons et faire quelques combats vite emballés.
Vous avez enfin récupéré le Pokémon que l’on ne cesse de nous montrer dans les trailers : Wushours ! Et il faut bien avouer qu’il est trognon, ce petit ours grognon !
Vous avez désormais un choix : faire évoluer Shiffours au sein d’une des deux tours de l’île. Une fois cet exploit accompli, l’aventure n’est pas terminée ! Quelques épreuves nous attendent dans un dernier tiers du jeu mais sont malheureusement encore moins intéressantes que les précédentes.
En ligne droite l’histoire du jeu se termine très rapidement, en deux heures à peu près. Est-ce que l’on a passé un mauvais moment ? Non ! Est-ce que l’on reste sur sa fin ! Oui ! Même si son histoire se termine sur place, le DLC est clairement un appel du pied vers la deuxième partie des aventures extra-Galar... DLC que vous aurez de toute manière déjà acheté si vous vous êtes procuré le pass d’extension.
Presque pour rire, le jeu nous propose enfin de partir à la quête de 150 Taupiqueur cachés sur l’île. Enfin, "cachés" est un grand mot puisqu’on les trouve à portée de main dans tous les coins !
Cette île solitaire de l’Armure est un petit bonus plutôt doux et agréable pour prolonger l’aventure Pokémon Épée / Bouclier. Sorte de symbiose entre le jeu vidéo et un épisode de dessin-animé que l’on regarde le samedi matin, il ne risque pas vraiment de décevoir les fans, trop heureux d’explorer des terres nouvelles et de rigoler des blagues potaches de ses joyeux habitants entre deux missions fedex.
Pour terminer, je vous propose une vidéo de découverte du DLC ! Embarquez dans cet épisode rempli de bonne humeur !
La conférence de présentation de la PlayStation 5 était pas trop mal !
Rien qui me rende particulièrement fou car on va vu très peu de gameplay. Le Zelda/BGE-like Kena Bridge of Spirit m’intrigue.
Bugsmax m’a fait un peu rire. Resident Evil 8 et Horizon 2 ne sont à priori pas trop pour moi. Bref, c’est pas tout de suite que je vais sauter le pas. D’autant qu’à l’heure actuelle, on ne connait ni la date de sortie ni le prix de la machine.
Machine qui se décline d’ailleurs en deux modèles : un avec lecteur de disque et un sans.
Rappelons-nous nos débats houleux sur la montée du dématérialisé ! Et ne nous leurrons pas : les arguments contre le démat sont toujours valables ! Seulement l’habitude a fait son chemin (on a pour beaucoup acheté Animal Crossing New Horizons en démat pendant le confinement), et les mœurs ont finalement changé. Le pratique et le gain de place sont de nouvelles valeurs qui comptent plus que la possession et le partage.
Bref, c’est gentil à Sony d’avoir pensé (une dernière fois ?) à nous, pauvres dinosaures de l’ancienne ère des objets polluant !
Toujours dans cette idée de couvrir les perles de la Wii, revenons sur les grosses licences Nintendo ! Mario, Zelda, Donkey Kong et quelques autres sont à l’affiche sur ma chaîne aujourd’hui !
Commençons tout d’abord par Super Mario Galaxy, que je n’avais pas rebranché depuis sa sortie, et franchement, je ne comprends pas pourquoi. Cela aura eu au moins le mérite de me rappeler l’effet bœuf que j’avais eu du jeu à sa sortie en 2007 !
J’enchaîne ensuite avec Super Mario Galaxy 2, excellente suite. Pour certains elle est meilleure, pour d’autres l’effet de surprise est passé. Mais la qualité est là ! En tous cas, en ce 11 juin 2020, on fête les 10 ans du jeu !
Ensuite j’ai commencé un petit let’s play du début de l’aventure de The Legend of Zelda : Skyward Sword, qui m’a rappelé les bons côté su jeu, mais surtout les mauvais ! Un épisode que l’on peut s’attendre à voir un jour porté sur une prochaine console Nintendo (la Switch et ses Joycon gyroscopiques ?), puisqu’il est le seul épisode de salon sur la liste !
Je vous renvoie d’ailleurs sur la critique que j’avais faite sur The Legend of Zelda : Skyward Sword après sa sortie.
J’ai aussi fait des vidéos de Donkey Kong Country Returns, Wario Land : the Shake Dimension. Pour New Super Mario Bros Wii et Link’s Crossbow Training, je vous invite pour l’instant à aller voir sur la chaîne directement !
Révélé ce 10 juin, Alex Kidd in Miracle World DX sortira en 2021 sur tous les supports !
Alex Kidd in Miracle World sur SEGA Master System est l’un de mes tous premiers jeux sur console (si on ne compte pas l’Atari 2600 ou la Game Boy), et même si le jeu est ressorti tel quel en 2019 sur Switch dans la série SEGA Ages, cela fait toujours plaisir d’avoir de ses nouvelles.
Il s’agit ici d’un remake, à priori fidèle dans son gameplay et level-design. Le jeu est développé par un fan, qui a eu l’autorisation de SEGA de continuer son travail de manière officielle. C’est amusant de voir qu’après Wonder Boy, Sonic Mania ou encore Streets of Rage 4, SEGA n’hésite plus à confier ses licences fétiches à des fans développeurs, qui visiblement ont l’air de plus savoir ce qu’ils font que SEGA eux-même !
C’est avec une grande joie que nous accueillons désormais la trilogie BioShock sur console Nintendo ! Tout comme avec les collections Bordelands et XCOM, 2K Games propose les jeux à l’unité sur l’eShop ou en sortie boite impliquant immanquablement des téléchargements. Pour BioShock, ce sont les premiers chapitres de chaque jeu qui sont sur la cartouche ce qui oblige à télécharger le reste. Que ce soit en full démat ou en téléchargements complémentaires de la version boite, il va falloir préparer les cartes SD !
Test publié sur Puissance-Nintendo
Bienvenue à Rapture
1960. Suite à un accident d’avion, notre personnage échappe de justesse à la mort et dérive en plein milieu de l’océan Atlantique. Devant lui un phare majestueux, qu’il s’empresse de rejoindre pour découvrir l’accès à une incroyable ville sous-marine : Rapture !
Une fois sur place, un voix nous accueille pour nous guider. L’environnement, très art-déco, est certes magnifique, mais laissé à l’abandon depuis des années. Des humanoïdes appelés les Chrosômes, dégénérescences des anciens occupants, veulent nous tuer dès notre arrivée. Armé au départ d’une clef à molette et d’un simple pistolet, nous découvrons une seringue de plasmide qui nous confère des pouvoirs surnaturels, le premier étant de lancer des éclairs pour immobiliser les ennemis et interagir avec les environnements.
Plus loin, nous faisons la rencontre d’un terrifiant duo : un mastodonte en scaphandre accompagné d’une toute petite fille, aussi frêle que dérangeante. C’est une "petite sœur" et son "protecteur". Quand vient le moment de les affronter, et que le géant est tué, vous avez le choix d’épargner la fillette comme de la tuer pour en récolter un maximum de ressource, le fameux "adam" qui va vous permettre d’évoluer génétiquement.
Si votre but premier est de sortir d’ici vivant, la voix vous demande rapidement de l’aider et va vous guider dans les différentes zones qui sont autant de pièces digne d’un paquebot géant... ou d’un manoir hanté. Plus on avance dans l’histoire et plus on en apprend sur les origines de ce sinistre endroit.
Des pouvoirs phénoménaux
Pour survivre dans ces environnements sanglants et aliénés, nous allons progressivement obtenir de nombreux pouvoirs et armes aux effets aussi fantastiques que variés.
Il y a tout d’abord les plasmides, créations génétiquement modifiées qui vont vous permettre de lancer des sort avec votre main gauche. La première récupérée vous permet donc de lancer des éclairs. Puis viendront d’autres éléments, comme le feu ou la glace, qui amène à interagir avec les environnements comme des flaques d’huile à enflammer ou des blocs de glace à faire fondre. L’un d’entre eux vous permet d’attirer des éléments par télékinésie pour les projeter sur vos cibles. D’autres plasmides encore plus mystérieux sont à débloquer, sachant qu’au départ vous êtes limité dans leur nombre, ce qui implique de devoir choisir ou changer de pouvoir auprès de bornes dédiées.
Leur utilisation est limitée, symbolisée par la barre d’énergie bleue, et vous oblige d’utiliser une seringue pour la régénérer. Autant dire que les Seringues d’Eve comme elles s’appellent, tout comme les trousses de soin, sont vivement recherchées parmi d’autres objets dans les décors, quand on ne peut carrément pas les acheter contre quelques dollars dans des stands ornés du visage d’un clown.
Les pouvoirs spéciaux peuvent être sélectionnés en passant de l’un à l’autre avec la gâchette gauche, ou en la maintenant pour faire apparaitre une roue les représentant. Même chose avec les armes de votre main gauche, attribués à la gâchette gauche. Il est vrai que l’on s’emmêle un peu les pinceaux au départ, mais l’efficacité, autant que la variété, est fulgurante.
D’autres fortifiants peuvent être trouvés sur place, achetés ou obtenus par l’expérience. Comme les plasmides, ils sont à attribuer dans des espaces limités et boosteront toutes vos capacités. Force, puissance, déplacements, interactions avec les machines, capacité à pirater les systèmes qu’ils soient robots, coffres fermés et distributeurs en tout genre. A vous de choisir ce que vous préférez, nous avons opté pour une invisibilité lorsque immobile (pratique pour laisser passer les sentinelles robotiques qui vous traquent) ou encore de l’électricité mortelle dégagée pour tout contact ennemi, entre autres réjouissances.
De fait, la quête de pouvoirs s’avère particulièrement palpitante, de par leur variété et leur interactions toujours intéressantes d’un point de vue ludique.
Les dessous de l’affaire
Interdit aux moins de 18 ans, BioShock présente un univers sombre, glauque, véritablement malsain et dérangeant. Les créatures qui nous assaillent semblent toutes droit sorties d’un asile d’aliénés. Le sang gicle de toute part. L’utilisation de drogues vous confère des pouvoirs obtenus dans une souffrance perceptible. Tous les repères de bien et de mal sont brouillés.
Ce malaise est d’autant plus fort que cette violence se déroule au sein d’un endroit autrefois riche et luxueux aujourd’hui laissé à l’abandon. Les salons de danse sont en décrépitude, mais la musique romantique des années 50 continue d’être diffusée. Poussant le contraste jusqu’au bout, certaines séquences proprement hallucinées vous feront combattre des hommes masqués et ultra-violent virevoltant sur la plus intense des valses.
Et surtout, ce monde autrefois idyllique est le vestige d’un monde ultra-contrôlé où ses habitants étaient manipulés de toute part, que ce soit leurs corps avec de la chirurgie ou leurs esprits avec une propagande à base de publicités très orientées. Un endroit où tout esprit sensé n’aurait pas envie d’être.
En ce sens Bioshock est, au delà de sa violence, fascinant. Sa réussite est d’avoir réussi à distiller cet univers dans des niveaux rigoureusement échafaudés. La progression est toujours mue par le scénario, que ce soit la recherche d’un personnage, d’une arme ou d’une faculté. Les environnements restent variés malgré le fait que tout se passe dans les tuyaux de cette ville de plomb. Si le début nous a sérieusement perturbé, et même un peu perdu, toute la deuxième partie du jeu est si intense qu’il a été impossible de lâcher la manette avant d’avoir le fin mot de l’histoire.
Le jeu n’est pas très long, comptez un peu plus de dix heures. Mais il est fort probable que vous ayez envie de le refaire pour le voir sous un autre œil ou prendre des décisions différentes, tant scénaristique avec le sort que vous faites aux petites sœurs que ludique avec la gestion des plasmides.
Quand il n’y en a plus...
Le jeu propose d’office les trois DLC : "Individualisme" où l’on doit vaincre un Protecteur quasiment à mains nues, "Des événements épouvantables" où l’on doit sauver des petites sœurs en situation inconfortable, et "Mondes de douleur" où l’on dispose de toutes ses armes dans une série d’arènes.
Les commentaires audio des réalisateurs sont disponibles, à condition d’avoir trouvé les bobines cachées dans le jeu. Plusieurs spot promotionnels filmés de l’époque sont également de la partie.
Enfin, la galerie des personnages 3D et des illustrations nous est présentée de manière bien originale puisque nous arpentons un musée avec le moteur du jeu !
Encore un jeu majeur de l’histoire vidéoludique qui rejoint les rangs de la Switch ! BioShock est un très bon jeu qu’il est encore temps de découvrir, puisqu’il s’agit désormais d’un "classique".
Pour terminer, je vous propose de découvrir le début du jeu en vidéo !
Xenoblade Chronicles est pour moi un jeu majeur des années 2010, et c’est avec grand plaisir qu’on l’accueille aujourd’hui sur Switch, dans une version remasterisée. Ajustements graphiques, de l’interface, ajout d’un épilogue disponible d’entrée pour les plus pressés.
Je commence l’aventure en vidéo, on verra jusqu’où ça nous mènera !
La Wii U est certes morte et enterrée (et ce d’autant plus que la Switch lui "pique" toutes ses exclues !), mais j’avais envie de revenir sur quelques uns de ses titres qui figurent parmi mes préférés, et qui n’ont pas - encore - été adaptés sur Switch !
The Wonderful 101 est un incroyable beat’em up par Platinum Games, les créateurs entre autre de Bayonetta. J’en avais fait le test enjoué à l’époque de sa sortie sur Puissance-Nintendo, mais pas de vidéo. Erreur réparée. Et le jeu sort sur Switch cet été !...
Pikmin 3 est l’un de mes titres préférés sur Wii U, et on l’attend de pied ferme sur Switch tout de même ! Edit 5 août : c’est fait, il sortira le 30 octobre 2020 sur Switch !
Et enfin Splatoon, remplacé depuis sans vergogne par Splatoon 2 sur Switch... mais j’avais envie de retrouver l’ambiance des premiers instants de la série !
Splatoon fête d’ailleurs ce 28 mai ses 5 ans sur Wii U !
C’est en 1980 que Namco publie le jeu Pac-Man dans les salles d’arcade. Après celui de Space Invaders un an auparavant, c’est un incroyable succès.
Le jeu est d’ailleurs devant Space Invaders en terme de ventes, mais il faut dire que le jeu a été publié sur tous les supports possibles et imaginables au fil des années.
Pour ma part je n’ai découvert le jeu que sur Atari 2600 bien des années plus tard. La version n’était pas très bonne, mais je n’en savais rien et j’y ai bien joué à l’époque !
Avant ça, Pac-Man, c’était surtout le dessin-animé qui fut diffusé à la télévision pendant plusieurs années (avec le générique interprété par William Lenergie). J’en avais fait des dessins !
Notez que j’avais déjà fêté les 35 ans de Pac-Man en 2015, avec le test du jeu NES sur la console virtuelle de la Nintendo 3DS !
Je vous laisse avec une petite vidéo de la version NES de Pac-Man (disponible sur NES Mini) !
Je parle rapidement du Club SEGA dans les articles sur la Master System ou encore la saga Sonic.
Mais j’ai eu l’occasion de me replonger dans toutes les lettres que (Maître) SEGA envoyait aux membres du Club SEGA français à l’époque, soit entre les années 1991 et 1994.
Quatre formules principalement, une par an : celle de l’ère pré-Sonic avec l’espèce de kangourou bleu moche, puis celle de Sonic, celle de Maître SEGA lui-même avec l’œil du club, puis enfin "Select Round". Cette dernière formule est un livret de quatre page, là où les autres étaient de simples lettres recto-verso.
J’étais à l’époque membre du Club SEGA, et pas de Nintendo qui proposait lui également des feuillets devenus aujourd’hui cultes. Ce club m’a vraiment donné le sentiment d’appartenir à un groupe, même s’il n’était qu’épistolaire.
Sega, c’était vraiment plus fort que moi !
J’ai d’autre part retrouvé dans mon agenda scolaire de l’époque une petite mention assez sympathique !
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