Dernier ajout : 11 avril.
C’est toujours au rythme effréné d’un (double) épisode par an que Game Freak habitue désormais les fans de la série Pokémon depuis quatre ans. Pokémon Or HeartGold et Argent SoulSilver, les derniers remake en date, étaient encore en 2D. Avec X & Y, la saga est passée en 3D et les nouveaux remakes, Rubis Oméga & Saphir Alpha, sont les premiers à emboiter le pas. Est-ce là un Pokémon de trop ? Ou bien le plaisir de retrouver cette troisième génération est bien là ?
Preview publiée sur Puissance-Nintendo !
On serait déjà tenté de répondre à la question, d’autant que nous avons pu pratiquer la version finale du jeu pendant plusieurs heures, récoltant ainsi les premiers badges. Mais voyons pour l’instant ce qui change et ce que l’on retrouve dans ces épisodes sortis en 2004 sur la Game Boy Advance.
Premiers pas dans la région de Hoenn
Après une introduction faisant un clin d’œil à la série 2D et le choix de votre personnage (garçon ou fille), vous voilà à Bourg-en-Vol, dans votre nouvelle maison ! La mère de votre héros/héroïne a fort à faire avec le nouvel emménagement. Heureusement elle est aidée par des Machopeurs ! Après avoir fait un saut dans votre chambre (où il y a une Wii U mais plus de PC !!), et réglé l’heure de la partie (en fonction de l’heure de la console, ce qui augure le retour des événements en temps réel), vous partez à la rencontre de vos nouveaux voisins.
Vous rencontrez rapidement votre voisin/voisine de palier, qui s’avère être l’enfant du Professeur Pokémon de la région, le Prof Seko. Celui-ci, absent de son laboratoire, s’avère être en mauvaise posture avec des Pokémon sauvages. Avec son accord vous utilisez une Pokémon qui est dans son sac tombé à terre : c’est le moment de choisir votre premier Pokémon !
Cette créature vous accompagnera une bonne partie de l’aventure alors soignez-la bien ! Après avoir aidé le professeur et fait un petit détour par Rosyère, vous retournez au labo où Seko vous donne le Pokédex, le listing de tous les Pokémon... à compléter ! (le Pokédex a d’ailleurs cette fois la forme d’une Game Boy Advance de première génération !)
Vous êtes à présent prêt à partir à la quête des badges d’arène dans le but de devenir le meilleur dresseur Pokémon ! Entre les combats contre votre rival Flora/Brice, la rencontre avec Timmy (le frêle garçon qui vous apprend dans un premier temps à capturer des Pokémon) et le mystère qui entoure les Team Magma/Aqua, le début de l’aventure promet !
Un équipement Pokémon plus que complet !
Le NAVI est le nom de l’équipement que vous donne le Professeur Seko pour vous donner des informations sur votre aventure. Il se complète au fur et à mesure de votre progression. Le premier équipement est le NAVI-DEX, un écran qui indique la présence de Pokémon dans les hautes herbes, et surtout s’ils sont inédits à votre Pokédex.
Une queue dépasse des herbes folles : il faut s’approcher doucement (en inclinant délicatement le stick droit ; le personnage marche alors sur la pointe des pieds) afin que le Navi-Dex repère le Pokémon. En continuant de marcher doucement, vous vous approchez de la créature et si vous la touchez un combat s’enclenche. La queue peut correspondre à n’importe quel Pokémon sauvage, qui fuira si vous vous approchez trop vite. Les rencontres aléatoires dans les herbes restent toujours d’actualité.
L’écran tactile permet ainsi d’afficher d’une simple pression les différents équipement. Le NAVI-MAP affiche une carte des lieux, sur laquelle on peut zoomer pour obtenir des informations plus détaillées. C’est sur cet écran que l’on verra affichés les rendez-vous donnés par les dresseurs que vous avez battu et qui veulent leur revanche.
Un peu plus loin dans l’aventure, vous récupérez des mains de sbires de la Team Magma/Aqua le précieux Pack Devon, un appareil appartenant à la Devon SARL. Très reconnaissant, son dirigeant vous offira un autre équipement : le NAVI-SHOW.
Le Navi-Show permet de recevoir des informations par Streetpass. Les informations des personnes utilisant le jeu sera affichée dans ce menu et vous permettront de faire des combats ou de partager des infos sur les bases secrètes. Le reste du temps, la chaîne diffuse des journaux télévisés, des flashs spéciaux sur la présence de Pokémon en masse ou des interviews de personnalités de Hoenn.
Un dernier onglet, le NAVI-FUN, correspond aux fonctionnalités présentes dans Pokémon X & Y : la Poké Récré, l’entraînement de Pokémon, les combats en ligne avec des personnes croisées en local ou en ligne.
Une réalisation (légèrement) à la hausse
Le passage à la 3D avec Pokémon X & Y avait été réalisé avec soin, avec un rendu très propre qui prenait peu de risques. Tant dans son design que son esprit, ce premier opus 3D était très sage. On peut affirmer que Rubis Omega et Apha Saphir, tout en partant de la même base que son ainé, a pris un peu plus le temps de soigner les choses.
Tout d’abord au niveau du gameplay, on remarquera que le contrôle au stick est plus précis qu’il ne l’était dans Pokémon X & Y. Exit les rollers qui partaient dans tous les sens (du moins dans la partie du jeu que nous avons parcourue) ! Dans cet épisode encore, le personnage peut courir d’entrée et n’a plus besoin de chaussures de sport pour cela ! On note aussi la possibilité de choisir le stick ou la croix pour les déplacements du personnage.
Comme dans Pokémon X & Y, la 3D relief n’est pas activée pendant tout le jeu. Elle n’est présente que pendant les cinématiques et les combats. Le voyant vert de la 3DS s’allume d’ailleurs quand la 3D relief est présente. Malheureusement, l’activation du relief a toujours tendance à faire chuter le framerate en combat. Il est dommage que cela n’ait pas été résolu depuis le dernier épisode. Certains rares décors bénéficient d’un affichage 3D relief : c’est le cas des Bois Clémenti qui sont de toute beauté, en pleine exploration. On observera aussi que différentes vues peuvent être employées, plus ou moins loin, selon les endroits.
Les animations des personnages ont bénéficié de plus de soin, que ce soit pendant les cut-scene où ils vont faire de nombreuses mimiques amusantes, ou même sur le terrain. Les animations des Pokémon n’ont à priori pas changé depuis X & Y, mais on peut observer des petits effets plus soignés pendant les combats.
Les graphismes sont globalement beaucoup plus colorés et détaillés. Il suffit de rentrer dans un bâtiment pour s’en rendre compte. Les extérieurs bénéficient de petits effets supplémentaires comme du vent sur l’herbe ou des reflets sur l’eau. Ils sont très agréables à parcourir. Ajoutez à cela des illustrations de personnages bien jolies et des musiques encore plus entraînantes (celle des combats est meilleure que jamais) et vous vous retrouvez avec un univers à même de vous émerveiller et vous faire retomber en enfance (la belle, pas la niaise de Pokémon X & Y !)
Les retrouvailles avec Rubis et Saphir se sont très bien passées : nostalgie, améliorations narratives, esthétiques et de gameplay. Nous sommes encore loin d’avoir tout vu : les bases secrètes et les séquences de vol n’étant pas dévoilées au cours de notre progression. Une chose est sûre : le monde de Hoenn sera encore une fois le champ d’explorations incroyables que l’on a hâte de retrouver !
Peut-on faire Bayonetta 2 sans jamais avoir touché au premier épisode ? Faut-il se replonger dans Bayonetta 1 pour comprendre les origines du conflit qui opposent les Lumen aux Sorcières de l’Umbra ? Qui est Cereza ? Un instant, je gobe une sucette.
Fly me to the Moon...
Lors de sa sortie en 2010, Bayonetta a rapidement été considéré comme le meilleur beat’em all de sa génération, reléguant les autres Ninja Gaiden et Devil May Cry aux rangs de has been instantanés. C’est donc avec un plaisir non dissimulé que les possesseurs de console Nintendo vont pouvoir découvrir ce titre emblématique sur Wii U.
Car non content de développer Bayonetta 2 en exclusivité sur la dernière console de Nintendo, Platinum Games a eu la bonne idée de faire un portage remasterisé de son jeu pour ceux qui voudraient faire les choses dans l’ordre. Bayonetta premier du nom sera donc disponible en dématérialisé sur l’eShop (à tarif avantageux si on a fait l’acquisition du deuxième épisode) et en duo dans deux packs à sortir physiquement dans le commerce.
La valse des versets
Tout commence dans un cimetière où nous faisons la connaissance d’une sorcière habillée en nonne. Bayonetta est flanquée de compagnons peu recommandables : l’inutile Enzo et le mastodonte Rodin, armurier des enfers. Cet endroit étrange fera office de tutoriel où l’on vous apprend les bases de combat de la belle. Coups de poings, coups de pieds, attaques au pistolet et esquives qui permettent d’arrêter le temps si effectuées au dernier moment. Une jauge de magie noire se remplit au fur et à mesure que vous attaquez et esquivez. Remplie, vous pouvez déclencher une attaque sadique particulièrement glauque ou amusante... ou les deux !
Si Bayonetta peut toujours enchaîner des pieds et poings géants en fin de combo, il manque ici l’apothéose de l’umbra développée dans le deuxième épisode. Et de se rendre compte qu’elle apporte vraiment beaucoup de fun à Bayonetta 2. Mais ne vous inquiétez pas, c’est le seul manque car sinon les QTE et les achèvements sont toujours là !
Même chose pour la technique de transformation en panthère qui n’arrivera que plus tard dans le jeu, et non d’entrée comme dans Bayonetta 2.
Bayonetta : un premier épisode fondateur
(Re)parcourir ce premier épisode après avoir fait le deuxième nous rappelle aussi à quel point Bayonetta premier du nom était déjà varié dans son déroulement, et proposait par exemple beaucoup plus de séquences de réflexion que dans le deuxième, beaucoup plus porté action. Que ce soit des portes à actionner par magie, des stèles à soulever, ou des sabliers à trouver pour remonter le temps et reconstruire des structures, Bayonetta 1 alterne les combats épiques avec des phases d’exploration un peu plus élaborées.
Techniquement aussi, Bayonetta 1 n’a pas à rougir ou se sentir dépassé par sa suite. On enchaîne les séquences en tout genre, allant de phases où l’on marche sur des sphères, à d’autres où l’on saute sur des ennemis en pleine furie, quand on ne marche carrément pas sur un missile en plein vol. Les séquences de véhicules sont beaucoup plus nombreuses, et si elles ne sont pas toujours optimales, on se souviendra que celles de Bayonetta 2 ne le sont pas toujours non plus (cf une séquence de course à la fin du jeu). Les séquences en moto ont néanmoins la grande classe.
Si la relation ambigüe avec Jeanne est au cœur de cet épisode, on n’en oublie pas pour autant les autres personnages, notamment Luka, le bellâtre inconsistant de Bayonetta 2 qui prend ici une place importante. Même chose pour la petite fille rapidement aperçue dans le 2 qui apparaît ici à part entière pour des séquences particulièrement amusantes et touchantes.
Du coup les cinématiques, même en images fixes, sont beaucoup plus intéressantes à suivre que dans le deuxième épisode. La raison en est simple : on s’attache beaucoup plus aux personnages et à ce qui leur arrive. Bayonetta est même beaucoup plus coquine et fait presque passer le deuxième épisode pour une version édulcorée (Rappelons que Bayonetta 2 est Pegi 16 tandis que Bayonetta 1 est bien Pegi 18 !). Force est de constater aussi que ce premier épisode est beaucoup plus dingue que le deuxième. Les cinématiques utilisant le moteur du jeu sont ici complètement folles et je me revois encore les regarder les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Là, où, on le rappelle, l’ennui des cinématiques du deuxième épisode me faisait bailler aux corneilles (référence au PNCast S3E3) !
Des bonus pour la remasterisation
Car c’est là aussi un des intérêts (ou sacrilège selon les joueurs) de cette remastérisation : l’intégration de costumes issus des licences de Nintendo. Si Bayonetta proposait déjà aux joueurs les plus aguerris de gagner des costumes supplémentaires, Bayonetta version Wii U propose dès le début du jeu de revêtir des costumes inédits... et décalés !
Un menu secondaire permettra de se parer de costumes de la Princesse Peach, Princesse Daisy, Samus Aran de Metroïd ou encore Link version féminine pour Zelda. Votre apparence change pendant tout le jeu, des cinématiques aux zones de combat. Selon le costume, les items correspondant à l’argent changent (des pièces à la Mario pour les princesses, des rubis pour Link). Certains jingles changent comme celui de Zelda lorsqu’on ouvre un coffre avec une clé. Les animations sont changées et le gameplay légèrement modifié quand il s’agit de se rouler en boule lors de sauts avec Samus ou d’utiliser un bouclier avec Link. Les poings géant deviennent ceux de Bowser. Et apparemment le pire est à venir ! (Qui a dit Mario et son boulet ?) C’est du pur fan service. Dommage qu’il ne soit pas possible de changer en cours de partie.
En conclusion
De là à dire que Bayonetta 1 est meilleur que Bayonetta 2 il n’y a plus qu’un pas ! Si l’on devait résumer, Bayonetta 2 dispose d’une réalisation technique supérieure et de couleurs plus chatoyantes mais d’un certain manque de surprise par rapport au premier qui est lui toujours très varié dans son déroulement. Un gameplay certes plus poussé au combat et en exploration pour Bayonetta 2 (l’apothéose de l’umbra, des séquences sous l’eau) mais moins de séquences de puzzle ou de réflexion. L’histoire est, dans les deux jeux, un grand foutraque autour d’une trame qui se dévoile plus ou moins dans les deux épisodes ; elle reste intéressante dans le premier jeu et largement ennuyante dans la première partie du deuxième. Au final les deux jeux restent très semblables. On sent que le réalisateur du jeu (le producteur du premier) n’a pas voulu trop s’éloigner de la formule gagnante du premier épisode. Tout au plus l’a t-il rendue un peu plus accessible et flamboyante.
Si vous avez commencé avec Bayonetta 2 et que vous l’avez apprécié, il n’y a pas de raison de ne pas (re)découvrir le premier épisode. Ce sera une bonne manière de prolonger le plaisir et de faire une relecture des événements ! Bayonetta est un excellent titre conseillé aux amateurs (avertis) de beat’em all et de ce que le Pays du Soleil Levant a créé de plus bizarre !
Test publié sur Puissance-Nintendo !
Bayonetta ressort en version remastérisée sur Wii U à l’occasion de la sortie de Bayonetta 2 ! L’occasion de vous en montrer un peu, et surtout les costumes Nintendo attribués à la belle Sorcière !
Vous pouvez aussi lire mon test complet du jeu !
L’un de mes jeux préférés est de ressortie ! On se fait une bonne vidéo de redécouverte !
J’en ai profité pour écrire un test sur Puissance-Nintendo ! Et depuis la vidéo j’ai fini le jeu, la preuve sur Miiverse !
Revenons sur ce jeu sorti il y a maintenant 20 ans, un jeu qui se voulait relancer la Super Nintendo alors en perte de vitesse. Donkey Kong Country a alors épaté tout le monde, voyons comment !
Vade Retro publié sur Puissance-Nintendo
Le contexte avant la sortie du jeu
1993 a été une belle année pour la Super Nintendo. Le Super FX a montré que la console pouvait afficher de la 3D avec Starwing. La DBZ mania bat son plein. Street Fighter 2 Turbo et Super Mario All Stars font un carton. Nintendo, en pleine concurrence avec la Megadrive de SEGA, est au top.
Toutefois, en 1994, l’ombre des 32 bits fraîchement annoncées par les concurrents plane : la PlayStation et la Saturn vont bientôt sortir. Nintendo qui, contrairement à SEGA avec le Mega-CD et la 32-X, n’a pas pu développer son extension CD-ROM, redoute le moment où elle va être dépassée. En prévision de cela est développé un jeu techniquement incroyable et censé en mettre plein la vue pour inciter les joueurs à rester sur Super Nintendo.
Ce jeu, ce sera Donkey Kong Country. Développé par Rareware, une société créée en 1983 qui œuvre alors exclusivement sur NES depuis sept ans, le jeu de plateformes en 2D utilisera des personnages modélisés en 3D sur les fameuses stations Silicon Graphics (celles qui ont permis la création des modèles 3D de block-busters américains comme Jurassic Park ou Terminator 2).
On ne sait pas forcément qui a choisi de ressusciter et surtout moderniser la licence Donkey Kong. Il reste que peu de temps après sa présentation un énorme hype a entouré le titre. Une vidéo de présentation du jeu a circulé au moyen d’une VHS offerte dans un magazine vidéoludique de l’époque (Consoles + pour ne pas le citer).
La vidéo joue justement le mystère et attend plusieurs minutes avant de dévoiler de nombreux extraits du jeu, qui s’avère alors véritablement bluffant. On nous y explique très grossièrement comment cela a été rendu possible en nous montrant les modélisations 3D. La vidéo vend du rêve. Le jeu n’est pas seulement beau, il a l’air aussi véritablement passionnant alors que nous découvrons des astuces révélées par les bêta-testeurs.
Donkey Kong Country a l’air d’une bombe. Les tests des magazines de l’époque sont unanimes : c’est un grand jeu. Consoles + lui accorde même la note plus qu’ultime de 101%, à l’image du score qu’il est possible de faire dans le jeu lorsqu’on le termine intégralement.
Un jeu absolument magnifique
Le jeu impressionne. Les personnages sont merveilleusement bien animés. Les décors sont riches et variés. Les effets spéciaux (pluie, éclairs, neige, etc.) abondent. La bande sonore explose les tympans de bonheur.
Mais c’est surtout son gameplay et son level design qui réjouissent. Donkey peut sauter sur ses ennemis, leur rouler dessus ou leur envoyer des tonneaux. Il peut frapper au sol, ce qui pourra révéler des régimes de bananes cachés dans les palmiers. Le joueur peut intervertir Donkey avec Diddy Kong si ce dernier a été libéré d’un tonneau. Diddy est plus rapide et agile mais aussi plus faible : il ne pourra pas faire sa roulade sur certains ennemis.
Parfois on rencontre quelques montures : Rambi le rhinocéros défonce tout sur son passage, Winky la grenouille saute très haut, Expresso l’autruche a de grandes jambes pour éviter certains ennemis et peut surtout planer. Enguarde l’espadon permet de nager plus facilement dans les (merveilleux) niveaux aquatiques et d’embrocher la poiscaille.
Les niveaux regorgent d’astuces à débusquer, entre les lettres "KONG", les bananes ou les zones bonus. Au nombre de 100, ces zones particulièrement bien cachées renferment un mini-jeu ou des bonus à foison. Elles font le sel du jeu et sont à trouver toutes pour prétendre obtenir le fameux 101%. Une question d’entraînement car une fois fait vous pourrez essayer de le faire le plus vite possible !
Nous vous laissons découvrir le jeu au moyen de cette vidéo maison qui dévoile les deux premiers mondes du jeu :
Donkey Kong Country est alors un énorme succès pour Nintendo. Le jeu vient directement concurrencer le Super Mario World de Shigeru Miyamoto qui n’aura alors pour but que de faire de son Yoshi’s Island un titre à la fois rodé techniquement et au gameplay racé.
Une version GameBoy est entreprise dans la foulée : Donkey Kong Land impressionne techniquement pour une portable 8 bits mais ne fait pas de miracles avec un gameplay plus nerveux et une visibilité délicate.
Donkey Kong Country sur Super Nintendo est aujourd’hui disponible sur la Console Virtuelle de la Wii U dans sa version 50 Hz. Dommage que du coup le jeu ne soit disponible qu’en version américaine car les dialogues traduits en français étaient particulièrement savoureux. Les noms des niveaux comportaient de nombreux jeux de mots et les conseils et remontrances du vieux Cranky Kong étaient délicieuses !
Toujours aussi accessible, Donkey Kong Country semble passer les âges sans perdre de sa superbe. Il reste aujourd’hui un challenge très intéressant que nous vous conseillons fortement d’entreprendre !
La 3ème saison du PN Cast continue avec son troisième épisode (sur cinq) !
Nous vous y parlons de Bayonetta 2, de Pokémon ROSA, et nous débattons sur l’évolution de la communication de Nintendo. Pour retrouver Jumpman, Dimitri et moi-même, ça se passe sur Puissance-Nintendo !
J’ai eu le plaisir d’y développer et réaliser "la SAGA", une série que vous pourrez retrouver tout le long des cinq épisodes. Dites-nous ce que vous en pensez sur les réseaux sociaux !
Puisance Nintendo organise une PN Party sur Lyon fin Novembre ! En accord avec Nintendo, le Ludopole accueillera les joueurs qui pourront essayer les dernières nouveautés ! Cliquez ici pour toutes les infos !
Sur mon dessin j’ai dessiné (de gauche à droite) Xavier, Boris, Valentin, Jumpman, RYoGA, Dimitri, Mustapha, le chapeau de Laurent, Thomas et Zenit !
Après les sentiments esthétiques liés aux beaux jeux, revenons sur ces jeux Nintendo qui ont su me mettre une baffe dans la gueule et me faire décrocher la mâchoire ! Un sentiment né de l’alliance d’une technique et d’un gameplay innovant !
Donkey Kong Country, 1994
Il y a 20 ans, je découvre chez un ami DKC, qui vient de sortir. Il me montre le niveau sous la pluie avec des éclairs, et là, je me revois ouvrir la bouche et sortir un rire d’incrédulité ! C’est possible de faire quelque chose d’aussi vivant et bien animé ?
Super Mario 64, 1997
Mes premiers pas dans l’environnement 3D du jeu sont jubilatoires. On peut vraiment aller partout ? Oui !
Resident Evil 4, 2005
Beaucoup de jeux sur Gamecube impressionnent. Et pourtant, il faut attendre la fin de vie de la machine pour que la grosse baffe technique et ludique arrive avec l’exclu temporaire de RE4. L’exploration et les possibilités d’interaction sont nombreuses et fait tout le sel de ce titre où il faut fuir pour éviter des hordes d’ennemis terrifiants.
Super Mario Galaxy, 2007
Après un Super Mario Sunshine décevant, je n’attendais pas plus que ça le nouveau Mario sur la Wii. Et pourtant, manettes en mains c’est la claque ! Le gameplay des Mario 3D s’adapte parfaitement aux niveaux sphériques et la sensation d’apesanteur avec laquelle on peut jouer est impressionnante !
Donkey Kong Country : Tropical Freeze, 2014
20 ans après le premier DKC, Tropical Freeze s’avère être un émerveillement de bout en bout. Graphiquement, musicalement, et surtout ludiquement puisque les situations se renouvellent en permanence tout au long du jeu.
Quel sera ma prochaine claque sur consoles Nintendo ? Et vous, quelles ont été les vôtres ?
Pour rester avec DKC, le premier jeu est sorti le 24 novembre 1994. Ce ser adonc mais bientôt les 20 ans du jeu ! Rappelez-vous (ou découvrez) la VHS qui assura la promotion du jeu à l’époque !
J’ai refait une énième fois Zelda Link’s Awakening, cette fois via la Console Virtuelle de la 3DS ! C’est la version DX que je n’avais jamais faite jusqu’ici ! Elle comprend des couleurs et un donjon supplémentaire... que je n’ai d’ailleurs pas trouvé !
Faire le jeu sur 3DS permet d’immortaliser certains passages sur Miiverse en faisant des screenshots et des dessins ! Voici ces moments publiés sur la communauté du jeu ! Cliquez sur un dessin pour afficher sa page dans Miiverse !
Le pire c’est que je n’ai sauvegardé tout au long du jeu qu’avec le système de sauvegarde de la Console Virtuelle... et après être entré dans le Poisson-rêve ! Du coup, bloqué par l’écran de fin, j’ai du réinitialiser le jeu... Aucun sauvegarde sur la "cartouche" donc je me retrouve au point de départ. Ah la la. Cela me fera une excuse pour le refaire !
Vous pouvez voir mes précédents dessins via les articles Miiverse 1 et Miiverse 2 !
La 3ème saison du PN Cast continue sur sa lancée avec son deuxième épisode !
Pour retrouver Jumpman, Dimitri et moi-même, ça se passe sur Puissance-Nintendo !
J’ai eu le plaisir d’y développer et réaliser "la SAGA", une série que vous pourrez retrouver tout le long des cinq épisodes. Dites-nous ce que vous en pensez sur les réseaux sociaux !
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